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La prévention des risques des coffrages sur les chantiers du BTP

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  • La prévention des risques des coffrages sur les chantiers du BTP

Le coffreur est amené à travailler dans des conditions de travail difficiles : port de charges lourdes, hypersollicitation des membres supérieurs, station debout et travail en hauteur, exposition aux agents démoulants pour béton, intempéries … Les risques liés à l’utilisation de ce matériel sont nombreux : renversement du coffrage, blessures dues à l’engin de levage et aux outillages, chutes d’éléments du coffrage, troubles musculo-squelettiques, chutes de hauteur et de plain-pied, affections cutanées et respiratoires provoquées par le ciment ou les huiles de décoffrage, électrocution et bruit des outils électroportatifs.

Un coffrage est un moule provisoire préparé pour couler le béton d'un ouvrage, puis retiré après la prise et le durcissement du béton. Il est disposé de manière à supporter le poids ou la pression du béton sans aucune déformation. Selon le type de coffrage utilisé lors des constructions, bois ou banches (panneaux métalliques préfabriqués), les opérateurs chargés de la réalisation de cette ossature sont des coffreur-boiseurs ou des coffreur-bancheurs. Le coffreur est amené à travailler dans des conditions de travail difficiles : port de charges lourdes, hypersollicitation des membres supérieurs, station debout et travail en hauteur, exposition aux agents démoulants pour béton, intempéries …

Les risques liés à l’utilisation de ce matériel sont nombreux : renversement du coffrage, blessures dues à l’engin de levage et aux outillages, chutes d’éléments du coffrage, troubles musculo-squelettiques, chutes de hauteur et de plain-pied, affections cutanées et respiratoires provoquées par le ciment ou les huiles de décoffrage, électrocution et bruit des outils électroportatifs.

La prévention des risques du métier de coffreur passe d’abord par une réflexion en amont sur l’organisation du chantier et sur son installation, le respect des normes de sécurité des coffrages et des bonnes pratiques et gestes professionnels : notamment la mise en œuvre et la bonne utilisation des équipements de levage et d’étaiement, des aides à la manutention et des installations de travail en hauteur, ...

Des règles sécuritaires strictement respectées de conception et d’utilisation des coffrages sont indispensables pour éviter les accidents pouvant être mortels, dont le renversement de l’ouvrage et l’écrasement du coffreur. Ces mesures de prévention portent en particulier sur les éléments constitutifs du coffrage, les dispositifs d’ancrage, les stabilisateurs à mettre en œuvre, les accessoires et équipements de sécurité et protections antichute, les installations de circulation du personnel en toute sécurité et le levage.

A ces mesures de prévention collective, s’ajoutent le port impératif d’équipements de protection individuelle adaptés, en particulier pour la pulvérisation des produits de démoulage, et une formation continue à la sécurité du travail.

Les différents coffrages sur les chantiers du BTP

Le coffrage béton, vertical, horizontal ou incliné, est utilisé pour la réalisation d’ouvrages aux formes définies et sa structure provisoire nécessite différents accessoires et outillages pour assurer sécurité et stabilité au béton coulé afin de lui conférer la forme désirée, en attendant sa prise et son durcissement.

Les qualités essentielles de tout coffrage sont :
- La rigidité et l’absence de déformabilité (poids élevé de la charge en béton frais)
- L’étanchéité (pour empêcher les fuites)
- La précision (dimension en largeur et hauteur, horizontalité, verticalité, inclinaison)
- La facilité de démoulage

Le coffrage perdu , qui reste en place après le coulage du béton, est très courant pour la réalisation d’éléments horizontaux : par exemple, le bloc à bancher, ou parpaing de coffrage, qui est utilisé pour la construction de mur de soutènement.

Les banches
sont des panneaux réutilisables de coffrage verticaux les plus utilisés sur les chantiers du BTP. Elles servent à la construction des murs, en constituant le moule provisoire dans lequel le béton est coulé (béton banché). La banche peut être en métal, en bois ou en composite. « Les panneaux verticaux coffrants ou banches sont des coffrages-outils qui, accouplés face à face, permettent de réaliser des murs (norme NF-P-93-350) ».

Les banches nécessitent des engins de levage (grues…) pour leur manutention, sauf pour les banches modulaires et manuportables qui sont utilisées pour les petits ouvrages.

- Les banches lourdes : Il s’agit d’éléments verticaux, le plus souvent métalliques, dont la hauteur correspond à celle du mur à construire et qui sont assemblables pour pouvoir couler la longueur de paroi voulue entre les deux banches. Lors de leur manutention, ces coffrages sont suspendus à la grue au moyen de pinces de levage.

- Les banches modulaires : elles permettent d’éviter l’utilisation d’une grue de manutention pour un coffrage de petite envergure et sont mises en œuvre manuellement à partir de petits éléments modulaires (en aluminium …) et assemblés à l'aide d’un système de serrage de pince à clavette.

Selon le type du matériau de coffrage utilisé lors des constructions, le coffreur-bancheur ou le coffreur-boiseur met en œuvre la réalisation et l’installation du coffrage ainsi que de son étaiement (béquilles, bracons …), sa stabilisation (par ancrage arrière, lest, raidisseurs, …), la pose du ferraillage, ...

Le coffreur-boiseur utilise des coffrages en bois qu’il réalise sur mesure pour la construction des petits ouvrages (poutres, dalles, poteaux, escaliers, …), avec une scie-sauteuse pour découper les planches du coffrage, une perceuse-visseuse et des vis pour l’assemblage, puis opère une vibration de surface par règle vibrante après le coulage du béton.

Le coffreur-bancheur réalise l'ossature en béton armé de bâtiments en utilisant des coffrages métalliques préfabriqués (banches) afin d'y couler le béton. Les banches modernes peuvent atteindre une hauteur de 3 mètres et comportent des accessoires de sécurité pliables (passerelles, échelles et garde-corps). Une grue met en place les éléments du coffrage sur le chantier et le coffreur supervise l’opération de positionnement de la banche sur les cales. Les cônes pour entretoise et tiges de serrage filetées bloquées par des écrous sont fixés pour maintenir un écartement des banches égal sur toute la paroi et permettre à la structure de résister à la pression du béton. Le coffreur huile avec un produit démoulant l’intérieur du coffrage (avec un pulvérisateur à haute pression ou badigeonnage) pour éviter que le ciment ne colle sur les parois en séchant, ce qui facilite le démoulage du béton lors du décoffrage. Les extrémités sont bouchées par un about de banche pour éviter que le béton ne s’en échappe. Le béton est versé par une benne et coulé en le vibrant au fur et à mesure pour bien répartir la matière et conserver la compacité du matériau (pervibration par aiguilles vibrantes). Une fois le béton sec, le coffreur desserre les écrous des tiges à l'aide d'un marteau de coffreur, le coffrage est retiré (décoffrage) et le coffrage peut alors être réutilisé autre part après avoir été nettoyé.

Les risques professionnels des coffreurs sur les chantiers du BTP

L’intervention sur les chantiers du BTP de plusieurs corps de métier simultanément génère des risques démultipliés de coactivité dues aux interactions, aux malentendus, aux incompréhensions entre entreprises, ce qui nuit à la sécurité et les responsabilités en matière de sécurité peuvent devenir floues.
La formalisation des relations est d’autant plus complexe lorsque certains travaux sont effectués par une entreprise nouvelle, des intérimaires qui interviennent occasionnellement, ce qui est fréquent : difficultés de transmission des informations, indisponibilité de l'encadrement...

  • Risques liés aux lieux de travail

- Risques liés aux déplacements Les déplacements fréquents sur le chantier sur un sol inégal, encombré, mal éclairé, comportant des vides (regards, tranchées, excavations...) et/ou glissant, induisent de nombreux risques physiques : plaies, fractures et entorses dues aux chutes de plain-pied, traumatismes crâniens et écrasements des membres en raison de la chute d’objets ou de matériaux des échafaudages ou des étages supérieurs, la chute d’éléments de coffrage, corps étrangers dans les yeux ...

- Risques liés au travail en hauteur
Les déplacements en hauteur, sur échelles d’accès ou échafaudages, est inhérent au métier, de même que l’utilisation de plateformes de travail, de passerelles en hauteur... Dans les travaux de coffrage, les chutes de hauteur représentent une part importante des accidents graves et mortels. Ils sont provoqués par : § des échafaudages inadaptés, mal stabilisés, mal ancrés, § des plateformes surchargées et encombrées, § l’absence d’accès sécurisés, § l’absence ou insuffisance de garde-corps sur la passerelle de la banche § la mauvaise utilisation des échelles mal entretenues, mal placées et/ou mal fixées, entrainant leur glissement, § en particulier, le passage, entre un moyen d'accès et des plateformes, planchers ou passerelles, crée des risques majorés de chute.

- Risques liés au renversement du coffrage
Les banches sont des éléments lourds (environ 1 tonne chacune) mais peu stables puisque hautes et reposant sur une base étroite, et elles offrent une forte prise au vent. Des banches mal stabilisées, sur de mauvais appuis (tassement ou affouillement) peuvent se renverser à cause d’un vent violent, suite à un choc avec un engin de chantier en mouvement, … et le risque d’écrasement des opérateurs est possible par tout ou partie des éléments de coffrage, avec une gravité potentiellement très importante. Des serrages défectueux peuvent aussi être à l’origine de l’ouverture du coffrage sous la pression du béton frais.

- Risques liés aux manutentions des coffrages
Les coffrages lourds sont manipulés à l’aide d’une grue, lors de mise en place, retrait ou stockage intermédiaire, suspendus à l’aide de pinces de levage et des élingues.
Les engins de levage de charges représentent des risques majeurs pour la sécurité des coffreurs, dont les pertes ou chutes de charges manipulées, les bris de matériels et chutes d'objets divers. L'élingage consistant à accrocher des charges isolées à un appareil de levage ou les décrocher pour pouvoir effectuer le chargement et déchargement, occasionnent des accidents fréquents et entrainent de graves blessures (fractures ou écrasement des membres, des mains et des pieds, traumatismes crâniens), dont certaines sont mortelles.
Les risques d'accident en cas de mauvaise manœuvre avec heurt du coffreur avec la charge sont importants.
Les risques de rupture de l'élingue, de déséquilibre et de glissement de la charge représentent aussi de sérieux dangers pour le coffreur ou les travailleurs à proximité : écrasement ou heurt par chute totale ou partielle ou déplacement imprévu de la charge ou du crochet d'accrochage, coincement ou lacération des mains et des bras lors de la mise en tension de l'élingue ...

- Risques liés aux travaux en extérieur
Le travail en extérieur conduit les coffreurs à être exposés aux ultraviolets (UV), aux intempéries, au froid ou à la chaleur, et à l'humidité. Ces conditions climatiques variables (gel, chaleur, pluie) accentuent les risques liés aux postures de travail contraignantes et ne permettent pas de travailler en toute sécurité (orage, vents violents, sols verglacés...).
L'exposition fréquente aux UV peut être responsable de cancers de la peau, d'ophtalmies (brûlure de la cornée), et, en tout cas, d'érythème solaire (coup de soleil).
Les problèmes de santé dus à la chaleur et à l'action prolongée du rayonnement solaire sur la tête (effets de l'insolation, de la déshydratation...) génèrent des risques de malaise général, de crampes musculaires, de pertes de connaissance, qui peuvent être vitaux dans les cas extrêmes (coup de chaleur). Indirectement, le travail par fortes chaleurs augmente aussi les risques d'accidents du travail par la fatigue, la sudation, la diminution de la vigilance.
Pour des travaux en extérieur, le risque lié au froid est accru par une exposition au vent (refroidissement éolien) et à l'humidité. Le refroidissement des parties du corps peut provoquer des engelures, lésions cutanées qui deviennent rouge violacées, douloureuses, avec des crevasses et/ou des phlyctènes. Les mains et les pieds (surtout doigts ou orteils) ont tendance à se refroidir plus rapidement que le torse : l'exposition au froid est susceptible de déclencher le syndrome de Raynaud (doigts blancs et douloureux par vasoconstriction). Comme pour la chaleur, le froid entraine des risques indirects, favorisés par la diminution de la dextérité due au refroidissement des extrémités, à la diminution des performances musculaires et à l'incapacité à effectuer des mouvements fins. La vigilance mentale est également réduite en raison de l'inconfort causé par le froid.

  • Risques liés aux tâches physiques

Le nombreuses manutentions manuelles lors notamment des opérations de ferraillage, des positionnements des coffrages et des armatures, vérins, tiges, des opérations de décoffrage et de nettoyage des banches, contribuent largement à la pénibilité physique du métier de coffreur et à la survenue de lésions articulaires, de pathologies d‘hypersollicitation des membres supérieurs et de lombalgies d'effort. Les postures de travail contraignantes (torsions, travail penché en avant, position accroupie, bras en l’air...), des charges lourdes manutentionnées toute la journée, des gestes répétitifs, entrainent des troubles musculo-squelettiques très fréquents à l’origine de nombreux accidents du travail. Les lésions de la colonne vertébrale, les douleurs des poignets, des épaules, etc., ainsi que les traumatismes aux genoux et aux chevilles sont particulièrement fréquents chez les coffreurs. De plus, les vibrations transmises aux bras et aux mains par l’outillage électroportatif (vibreuse à béton, perceuse-visseuse, disqueuse, scie-sauteuse...) viennent aggraver l’exposition à ces risques : atteintes pathologiques ostéoarticulaires et angioneurotiques qui concernent principalement les membres supérieurs, les mains et la colonne vertébrale, par transmission des vibrations au bras ou au corps entier. L'utilisation d'outils manuels et de machines électroportatives pouvant s'avérer dangereux est très fréquente : il en résulte des blessures par outils tranchants ou contondants, avec une surinfection potentielle de la plaie. Des lésions oculaires sont aussi provoquées par des projections de corps étrangers, de particules et de diverses poussières dans les yeux.

  • Risques liés aux produits chimiques

La toxicité du ciment induit de nombreux problèmes dermatologiques pour les coffreurs exposés fréquemment au béton lors du coulage : dermites d’irritation, dermites allergiques.
- La dermite d'irritation
La forte alcalinité des bétons provoque les lésions cutanées (peau rouge et luisante, œdème, éventuellement des vésicules), brûlures caustiques, fissures, crevasses, ulcérations douloureuses.
- La dermatite de contact allergique est due aux substances allergènes contenues dans le ciment : chrome (bichromate de potassium) surtout, mais aussi traces de nickel, cobalt. Le coffreur se sensibilise progressivement à ces produits de façon spécifique du fait de la multiplicité des contacts cutanés non protégés. L'eczéma de contact ("gale du ciment") siège au début sur les zones de contact avec le ciment, mais peut ensuite s'étendre au-delà : faces dorsales et latérales des doigts et des mains, face interne des poignets. Les atteintes cutanées sont érythémateuses avec lésions prurigineuses, vésiculeuses suivies d'une phase de suintement, de formation de croûtes et de desquamation, et l’eczéma peut se surinfecter.

Les huiles de décoffrage appliquées par pulvérisation ou au pinceau peuvent entraîner des pneumopathies huileuses, des bronchites ou de l’asthme. Par contact avec la peau, les huiles de décoffrage peuvent également provoquer une folliculite acnéiforme ou élaïoconiose. Les solvants des huiles pour le démoulage peuvent entrainer des intoxications du fait des vapeurs de ces composés organiques volatils (COV : benzo[a]pyrène et autres hydrocarbures aromatiques polycycliques) qui ont des effets très néfastes sur la santé (irritations des yeux, des muqueuses des voies respiratoires, troubles cardiaques et du système nerveux, céphalées, nausées...) en cas d'exposition prolongée. .Elles sont aussi à l'origine de troubles cutanés (folliculites, boutons d'huile, acné, dermites eczémateuses) : directement, au niveau du visage, des bras ou indirectement par imprégnation des vêtements. Ces pathologies provoquées par ces huiles sont répertoriées dans les tableaux 36 et 36 bis des maladies professionnelles du Régime Général de la Sécurité Sociale. Par ailleurs, les ciments sous forme sèche, les poussières d’abrasif, de plâtre et de laines isolantes ... présentes en quantité sur les chantiers du BTP présentent des risques pour les voies respiratoires (rhinites).

  • Autres risques

Les chantiers du BTP ou travaillent les coffreurs présentent d’autres risques : - risques de chocs électriques causés par des installations temporaires précaires, avec des câbles, des prises endommagés ou des outils électroportatifs défectueux, - risques sonores causés par le bruit environnant du chantier, des outils et des engins de levage ou de manutention, du martelage lors du desserrage des écrous.

Les mesures de prévention des risques des coffreurs

Les moyens de prévention à mettre en œuvre pour pallier les risques professionnels des coffreurs résident d’abord dans la prévention collective (organisation, installations, produits ...) qui diminue fortement les expositions et la fréquence des accidents, puis dans la prévention individuelle (équipements de protection) qui en diminue nettement la gravité, enfin dans la formation à la sécurité. La prévention collective concerne le bon usage des équipements de coffrage, des installations de travail en hauteur, l'emploi de produits de substitution de moindre impact potentiel sur l'homme, des aides à la manutention et des outils adaptés, le respect des règles générales de sécurité… Les différents risques professionnels doivent faire l'objet d'une évaluation pour permettre la rédaction du Document Unique de Sécurité (DUERP) en appréciant à la fois l'environnement matériel et technique (outils, machines, produits utilisés) et l'efficacité des moyens de protection existants et de leur utilisation sur les postes de travail.
De manière aussi à ce que les salariés puissent être informés à propos des produits dangereux utilisés, les Fiches de Données de Sécurité (F.D.S.) doivent être mises à disposition et la connaissance de leurs risques expliquée au travers de la compréhension de leur étiquetage.
Une coordination Sécurité et de Protection de la Santé (SPS) est obligatoire pour tous les chantiers du BTP sur lesquels interviennent, simultanément ou successivement, plusieurs entreprises, même en sous-traitance l’une de l’autre : le coordinateur de Sécurité et de Protection de la Santé SPS établit la communication entre toutes les entreprises et tous les intervenants et assure la gestion générale de la sécurité d'un chantier pour tous les travailleurs.

  • Les installations de travail en hauteur

Chaque fois que cela est possible, il est nécessaire de prévoir un maximum d’opérations au sol pour diminuer la charge de travail réalisé en hauteur. Par exemple, - certaines pinces de levage sont étudiées pour effectuer un décrochage à distance, ce qui permet de ne pas de travailler en hauteur pour cette opération ; - effectuer le travail au sol pour les opérations d’assemblage des panneaux et la mise en place des équipements de sécurité. La prévention des chutes de hauteur est assurée d’abord par des accès sécurisés (passerelles avec dispositif de protection antichute , échelles conformes et stabilisées) grâce à des garde-corps installés côté face coffrante. Puis, la circulation en hauteur doit s’effectuer en sécurité sans créer de risque de chute lors du passage entre un moyen d’accès et des plateformes, planchers ou passerelles et protection des trémies par platelage. La fixation et le réglage des passerelles et garde-corps doivent être minutieusement vérifiés avant la mise en œuvre du coffrage. Parmi les installations de circulation du personnel en toute sécurité, la plateforme de travail à encorbellement ou PTE est un équipement de travail qui permet de constituer un plancher de travail temporaire en hauteur, fixé en porte-à-faux par rapport à l’ouvrage. Les PTE sont très utilisées dans le gros œuvre lors des constructions d'immeubles notamment, et assurent la sécurité et la circulation des travailleurs pour le coffrage et le décoffrage des murs de façade et pour la mise en place du stockage temporaire des matériels et outils. Pour constituer un poste de travail de faible hauteur pour le ferraillage … , sécurisé et stable au renversement, les plates-formes individuelles roulantes doivent être utilisées pour toutes les tâches à la place des escabeaux : en effet, contrairement aux escabeaux, elles disposent de toutes les protections : garde-corps pour éviter la chute, lisses, sous-lisses, stabilisateurs solidaires à la structure pour éviter tout risque de basculement, marches et plancher antidérapants et plinthes.

  • Stabilisation des coffrages

Un plan détaillé de calepinage des coffrages et de leurs équipements et accessoires (entretenus régulièrement et révisés entre chaque chantier) doit être complété par un calcul et un plan de stabilisation pour des vents inférieurs à 85 km/heure en rafale. La stabilisation adoptée est décrite dans le Plan Particulier de Sécurité́ et de Protection de la Santé (PPSPS) : Les dispositifs de stabilisation sont constitués soit d’un ancrage par étais rigides arrière, soit d'un couplage en face à face, soit les deux à la fois pour les hauteurs importantes. Des compas disposés en haut des banches peuvent être utilisés pour bien maintenir les banches face à face et servir en même temps de point d'arrimage pour le levage. La stabilisation s’effectue par les étais des fermes d'appui et ancrage arrière ou par des lests de contrepoids sur lesquels viennent s'accrocher des étais rigides arrière. Les étais de stabilisation rigides arrière permettent d'ancrer les banches soit sur la construction en-cours (ancrage dans des planchers, fixation dans un scellement intégré "talonnette", butée aux pieds des banches), soit sur des plates-formes de travail en encorbellement ou sur des lests amovibles (blocs ou longrines de béton). Les vérifications et contrôles du positionnement du coffrage et de sa stabilité sont indispensables avant le bétonnage : mise à niveau par cales, taquets ou vérins, fermes d’appui (nombre et écartement), étais correctement fixés et réglés, ancrages (nombre suffisant par ferme et inclinaison), contreventements, serrages, … La manipulation des banches avec une grue ne doit pas s’effectuer avec un vent supérieur à 50 km/h.

  • Prévention des risques des huiles de coffrage

La première étape consiste à repérer en particulier les agents chimiques cancérogènes ou dangereux dans le cadre de l'évaluation des risques du Document Unique de Sécurité. Les Fiches de Données de Sécurité (FDS), obligatoires pour tout produit chimique dangereux, comportent les renseignements relatifs à la toxicité des produits, donc notamment leur caractère cancérogène éventuel. La suppression ou la substitution des produits cancérogènes ou dangereux est la mesure de prévention prioritaire qui s'impose. Les conditions de travail, le plus souvent à l’extérieur, font qu’il est impossible d’éliminer tous les risques par la mise en place des protections collectives (tel un système d’aspiration pour l’emploi des huiles de décoffrage).
- Choix des huiles de décoffrage
On distingue plusieurs types d’huiles de décoffrage, certaines plus nocives que d’autres : huiles minérales, huiles à base végétale et de synthèse, aux formulations de composition variable et avec des solvants pétroliers. Les huiles de décoffrage sans solvant doivent donc être privilégiées : huiles 100% végétales sans solvant (à base de soja ou colza) ou huiles minérales de synthèse sans solvant hydrocarboné.
Les innovations des banches sans huile ni autre aucun agent de démoulage (inox avec procédé d’électro-osmose, peau coffrante souple en polypropylène hydrophobe …) devraient permettre à l’avenir d’éliminer ce risque chimique.
- Choix du mode d’application des huiles de coffrage Les huiles de décoffrage sont appliquées par pulvérisation à l'aide d'appareils portables pour les grandes surfaces ou par badigeonnage au rouleau ou au pinceau. Malgré la rapidité et de facilité de mise en œuvre avec des pulvérisateurs, cette méthode peut donner lieu à des risques d’aérosolisation excessive (buse mal adaptée, mauvais sens du vent …) et il vaut mieux la remplacer par le badigeonnage si possible.
- Equipements de protection des huiles de coffrage Pour la protection cutanée : port de gants imperméables et résistants aux hydrocarbures (caoutchouc … ) ; de bottes et vêtements imperméables et résistants aux hydrocarbures fermés aux poignets et aux chevilles, de lunettes de protection avec protection latérale. Pour la protection respiratoire aux solvants : port de demi-masques avec cartouche filtrante jetable anti-aérosol de classe FFP2SL (ou FFP3SL en milieu confiné) avec filtre A2P.

  • Prévention des risques météorologiques des coffreurs

L’impact de la météorologie sur les activités professionnelles en extérieur étant considérable, l’information météorologique est un outil d’aide à la décision indispensable car une bonne surveillance préalable des prévisions météorologiques diminue les risques d’être pris au dépourvu et laisse le temps d’agir afin de préserver la sécurité du travail. L’employeur doit disposer des moyens d’information lui permettant d’avoir connaissance de l’évolution des conditions météorologiques (Article R. 4323–46 du Code du Travail ). Pendant la journée de travail, il faut toujours vérifier les bulletins météorologiques et surveiller les conditions météorologiques sur le terrain pour être prêt à aménager le programme de l'organisation, à mettre en œuvre la planification des interventions d'urgence, ou à arrêter le travail lorsque elles deviennent trop dangereuses : par exemple, les entreprises peuvent se munir d’anémomètres portables afin de vérifier la vitesse du vent sur site (ou utiliser celui de la grue). - Pour les fortes chaleurs : Pour les travaux à l'extérieur, débuter la journée de travail plus tôt et reporter les lourdes tâches aux heures plus tempérées de la matinée, aménager des zones de travail et de repos à l'ombre avec mise à disposition d'eau fraîche, inciter les travailleurs à se couvrir la tête, ne pas négliger le port des équipements de protection individuelle. Il convient également de mettre en place des protections pour éviter tout contact corporel avec les surfaces, notamment métalliques, exposées directement au soleil. Sur les chantiers du BTP, les employeurs sont tenus de mettre à la disposition des travailleurs 3 litres d'eau, au moins par jour et par travailleur (article R. 4534-143 du Code du travail) et prévoir des zones d'ombre ou des abris pour l'extérieur et/ou des aires climatisées. - Pour les grands froids : Le port de protections individuelles contre le froid (combinaison ou veste et pantalon, bottes fourrées antidérapantes, gants épais, grosses chaussettes, bonnet ...) sont indispensables. Le vêtement doit être adapté à l'activité et ne pas gêner, en particulier les tâches doivent être réalisables avec les gants, l'employé ne doit pas avoir à les retirer. - Pour les vents violents : Sur un chantier de construction, il y a intempérie lorsque les rafales de vent dépassant les 60 km/h. Tous les objets sur les chantiers susceptibles d’être emportés par le vent peuvent s’envoler et devenir des projectiles dangereux ou bouger soudainement et fortement : il convient de les ranger en les mettant à l'abri à l'intérieur dans des bâtiments solides ou bien les fixer en utilisant des poids, des cordes, des chaînes ou des piquets. En particulier, les palissades, barrières, éléments de coffrage et tout autre objet de grande prise au vent doivent être sécurisés de la manière la plus sure.

  • Prévention des risques des engins de levage

L'utilisation des accessoires de levage comportent aussi par eux-mêmes des risques : il convient de respecter les charges maximales qu'ils peuvent supporter (par exemple, valeurs limites à ne pas dépasser des pinces de levage des banches), et de ne pas rester dans le rayon d'action des engins de levage pour éviter le risque d'accident en cas de mauvaise manœuvre avec heurt du personnel du chantier avec la charge : il faut sans cesse rester vigilant afin d’anticiper les mouvements de l’engin et de sa charge. Le bon arrimage des charges et leur guidage en cours de levage, des élingues et accessoires régulièrement vérifiés et entretenus sont des actions indispensables à la sécurité, de même que la prise en compte de la résistance de la surface d'appui de l'appareil de levage pour éviter le renversement.

  • Prévention des risques électriques des coffreurs

Il convient de garder les outils électroportatifs ainsi que leurs dispositifs de sécurité en bon état de fonctionnement, les prises de courant défectueuses doivent être remplacées, les baladeuses, prolongateurs vérifiés… et utiliser des disjoncteurs différentiels portatifs 30 mA.

  • Protection individuelle des coffreurs

Il faut recourir impérativement aux équipements de protection individuelle suivants : - Casque de chantier pour se protéger des chutes d’objets, qui doivent être remplacés régulièrement, et en tout cas, s’il y a eu un choc, - Chaussures ou bottes de sécurité, - Lunettes de protection (notamment en cas d’utilisation des meuleuses, disqueuses...) et anti UV, - Gants imperméables en nitrile ou néoprène, avec un revêtement intérieur et des manchettes remontant haut sur les avants bras, en évitant le port prolongé afin d'éviter le risque de macération et de sudation, - Protections auditives antibruit (bouchons moulés…) lors de l'utilisation d'outils bruyants, - Masques avec cartouche filtrante jetable anti-aérosol pour la pulvérisation des huiles de coffrage - Genouillères ou un pantalon à genouillère type « hygrovet » pour les travaux agenouillés au sol, - Vêtements adaptés aux travaux du bâtiment et aux conditions climatiques, - Vêtement de signalisation à haute visibilité si travail près d’une voie publique. Une trousse contenant un matériel de premiers secours non périmé (solutions antiseptiques, pansements,…), aisément et rapidement accessible, permet de désinfecter et panser immédiatement toute blessure cutanée ou d'effectuer un lavage oculaire en cas de poussière dans l'œil.

  • La formation à la sécurité des coffreurs

L’information et la formation des salariés sur les risques et les techniques d’utilisation des équipements et des produits est absolument nécessaire pour diminuer de façon pérenne le niveau de criticité du travail du coffreur : - Formation à la sécurité des équipements (par exemple, pour le montage et démontage des échafaudages, l’utilisation des échelles, les techniques de levage et d’élingage). - Formation à la sécurisation des chantiers (gestes et signaux de commandement au grutier. balisage, circulation...). - Formation PRAP (Prévention des Risques liés à l'Activité Physique) : l’OPPBTP a développé une démarche appelée ADAPT-BTP (Aide à la Démarche d’Amélioration des situations et des Postes de Travail) qui vise à prévenir les risques liés à l’activité physique. Il s’agit d’apprendre les bonnes postures de travail, les positions articulaires adéquates, en appliquant les principes de base de sécurité physique et d’économie d’effort. - Formation à l'hygiène corporelle : l’éducation sanitaire constante et efficace (hygiène cutanée au cours et après le travail) est indispensable. - Formation sur le travail en hauteur.

Pour aller plus loin :

  • OPPBTP - PREVENTION BTP : Etude métier Coffreur-Bancheur : Méthode d'analyse et d'évaluation des conditions de travail - 2019 - 40 pages
  • CNAM : recommandation R399 : Stabilisation au vent des banches métalliques - 2003 - 4 pages
  • OFFICIEL PREVENTION : Dossiers Formation > Conseils : La coordination SPS sur les chantiers BTP : https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/conseils/la-coordination-sps-sur-les-chantiers-btp
  • OFFICIEL PREVENTION : Dossiers Protections collectives - Organisation - Ergonomie > Manutentions : LES FORMATIONS Gestes et Postures ou PRAP (Prévention des Risques liées aux Activités Physiques) : https://www.officiel-prevention.com/dossier/protections-collectives-organisation-ergonomie/manutentions/les-formations-gestes-et-postures-ou-prap-prevention-des-risques-liees-aux-activites-physiques
  • OFFICIEL PREVENTION : Dossiers Formation > FICHES MÉTIER : LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS DE L'ÉLINGAGE : https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/fiches-metier/la-prevention-des-risques-professionnels-de-lelingage

Mai 2022

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